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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
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-album super pour ma part rien à dire
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Methods of MayhemA Public Disservice AnnouncementPays : USA Date de sortie : 2010 |
Style : Rock, Nu Metal
Pour les Fans de : Linkin Park, Nickelback
L'idée était intéressante mais sentait quand même un peu le traquenard : proposer aux internautes, via la plateforme du producteur Scott Humphrey, de participer à l'élaboration du nouvel album de Methods Of Mayhem, le groupe de Tommy Lee né il y a dix ans en pleine éclosion rap-metal. Concrètement, Lee et ses acolytes ont pondu une ossature de base pour chaque morceau, sur laquelle n'importe qui pouvait mettre sa patte. Avec semble-t-il plus de 10'000 contributions parmi lesquelles il a fallu faire un tri drastique.
Helas, le concept est à peu de choses près la seule bonne idée qu'ait eut le batteur de Mötley Crüe pour ce disque. On sentait venir le coté casse-gueule d'un tel projet : A Public Disservice Announcement a la même homogénéité qu'une mayonnaise ratée. Et à part une infinie médiocrité, les morceaux n'ont que peu de choses en commun.
Avec cette deuxième galette, Methods Of Mayhem n'est donc même plus juste un affreux groupe nu-metal. Il n'est plus rien si ce n'est un bel exemple qu'un concept et des invités connus (Chino Moreno, Deryck Whibley, Chad Kroeger) peuvent accoucher d'une souris. Si le milieu de la galette est simplement inintéressant, l'écoute du premier morceau, "Drunk Uncle Pete" est une vraie épreuve. Un mélange (forcement) indigeste de Linkin Park, Sum 41 et Bloodhound Gang. A interdire au plus vite, y a pas d’autres solutions.
Un peu plus loin, quand MoM veut faire hard-rock, il tombe souvent assez bas. A la hauteur de Nickelback. Quant aux bidouillages divers que sont censés amener les multiples participants au projet, ils n'ont de loin pas la valeur ajoutée escomptée. Cela dit, le disque est tellement mauvais que c'est dans ce registre le plus rock que l’on souffre le moins et de loin (« Louder », « Two Ways » ou la Deftonnienne « Only One »). La fin est particulièrement pathétique, Tommy Lee laissant la vedette à son clubber acolyte DJ Aero a qui j'attacherais bien les menottes dans le dos histoire de voir s’il fait mieux avec les pieds. Trois morceaux qui nous plongent dans une boite cheap de station avec un saisonnier moniteur de ski aux platines. C'en est trop, il faut que je satellise cette bouse au plus vite avant de m'envoyer deux ou trois rounds de Too Fast For Love pour m'en remettre.
Kronik : Matti
Label : Roadrunner Records
Site Web : www.tommylee.com
Myspace : www.myspace.com/tommyleetv
Site du label : www.roadrunnerrecords.com
Kronik ajoutée le : 17/02/2011
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