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-super photos et commentaires, ça donne envie !
-Sympa le live reports. J'ai trouvé la fin du set de Cattle Decapitation plus carré...
-Mea Culpa alors très cher collègue. :( J'aurais du mieux vérifier effectivement.
-Ce n'était pas au Sedel le concert Beach Slang.
-Cool report même pour un non-metalleux !
-Haaaaaaa mais Anders Iwers! Putain c'est le mec de Ceremonial Oath et Tiamat! J'adore...
-YOU GET YOUR BALLS TO THE WAAAALLS!
-Merci pour le report! C'était du costaud d'organiser ces 2 gigs! Effectivement, ils...
-You're welcome, Chris! See you at Maryland Deathfest!
Le Give It A Name commence à se faire une bonne petite réputation du côté de Zurich et attire toujours autant de monde. En témoigne la longue file devant l’X-Tra alors que les portes n’ouvrent qu’une bonne demi-heure plus tard. De mon côté, c’est une autre mission qui m’attend : trouver la bonne entrée pour réaliser l’interview prévue avec AFI. Après plusieurs tentatives et pratiquement trois quart d’heure d’attente interminable, je suis enfin autorisé à retrouver le groupe dans les loges.
L’interview est à lire ICI.
Il est enfin temps de se rendre à la salle, où The Swellers vient de terminer son show. Pas d’avis perso sur leur prestation, mais d’après Ludo, c’était plutôt bien, une performance solide d'un groupe qui commence à se faire son petit nom dans le monde du punk rock/hardcore mélo. On y retrouvera pelle-mêle des titres tels que Bottles, Feet First, Sleepers et ils finiront leur set avec leur traditionnel Skoots.
Le temps de poser un peu de bordel au vestiaire et de s’armer d’une bière (bonjour les efforts qu’il faut faire pour accéder aux bars de la salle…), c’est déjà au tour des Bouncing Souls de faire leur entrée sur scène. Après plus de 20 ans de carrière, c’est l’expérience qui parle : le groupe assure et se met rapidement le publique dans la poche en ouvrant sur la désormais mythique True Believers. Greg Attonito et sa belle chemise s’offrent quelques virées dans la fosse, East Coast ! Fuck You met le feu à la salle avant que l’ambiance ne retombe un peu avec le titre à la guitare acoustique, avant que la fameuse Gone ne retentisse et remotive le (très) jeune public. Never say die / When you’re young conclut leur set et on se dit que le groupe aurait sans doute mérité de passer plus tard dans la soirée. Petit bémol quand même pour le son, surtout la voix, qui aurait pu être de meilleur qualité.
Les pauses étant courtes et les assoiffés nombreux, l’organisation a eu la bonne idée de placer Story Of The Year là au milieu. D’une part ça comble les hordes d’emo-kids présents à la soirée et ça permet aux vieux cons aigris d’accéder tranquillement à la buvette. C’est vrai qu’on va me reprocher de ne pas avoir tenu mon poste, mais j’ai quand même écouté 3-4 morceaux pour la bonne cause, le temps de voir les musiciens faire des allers-retours incessants sur scène. Bien que n’étant pas amateur de ce qu’ils ont proposé, il faut tout de même admettre qu’ils assurent, c’est hyper carré, et le son global laisse également une bonne impression. Au niveau de la set-list, ça donnait And the Hero Will Drown, Falling Down, The Antidote, Our Time Is Now, The Ghost of You and I , Anthem of Our Dying Day, Take Me Back, In the Shadows, Until the Day I Die et "Is This My Fate?" He Asked Them
La soirée se poursuit et voilà enfin les deux groupes sur lesquels j’aurais plus de choses intéressantes (ou pas) à raconter. En premier, les canadiens de Sum 41, un des derniers rescapés de la vague pop-punk. Un peu d’appréhension due à un dernier album plutôt décevant (Underclass Hero) et au départ du guitariste Dave Brownsound, mais une playlist soigneusement choisie et un nouveau guitariste (Tom Thacker) qui se démerde bien lèvent les doutes. Au programme : Hell Song, We’re all to blame, In too deep, Motivation, Welcome to hell, My direction, Over my head better off dead, Makes no differences, une reprise de Paint it black des Rolling Stones avec Tom Thacker au chant, Still waiting, Fat lip et évidemment Pain for pleasure pour conclure. Sum 41 n’est pas mort et compte bien le faire savoir ! Quelques points un peu plus décevants : les micros chants ne sont toujours pas au point (des différences de volumes assez inexplicables) et le coup de faire monter 4 personnes sur scène pour les laisser dans un coin… On préférera retenir la grosse ambiance pendant le concert.
C’est enfin au tour d’AFI… La salle semble pourtant moins remplie que pour Sum 41, est-ce parce qu’il y a école le lendemain ? (J’aurais presque tenu toute la chronique sans être médisant envers le public… ça sera pour la prochaine fois !). AFI donc, en pleine période controversée suite à la sortie de Decemberunderground et Crash Love. Leur show s’ouvre avec Medicate, et, bien que déçu qu’ils aient arrêté les intros comme Miseria Cantare ou Strength Through Wounding, j’avoue être agréablement surpris ! Ils ont une présence sur scène et une énergie qui mettent tout le monde d’accord, le son est hyper propre (excepté les soucis de micros) et leurs éclairages perso ajoutent un vrai plus. Suivent alors Girls Not Grey et un Leaving Song Pt. 2 ENORME. Petite remarque pour les geeks : Jade utilise maintenant une Les Paul Standard en plus de sa Studio et Hunter a définitivement troqué la Jazz Bass pour une Precision. I am trying very hard to be here, Kill Caustic et End Transmission confirment que la période punk/hardcore est révolue (tous les titres jusqu’à present sont tires des trios derniers albums). Et bien non ! On est tenté de se frotter les oreilles pour être sûr que notre imagination ne nous joue pas des tours, mais c’est bien Perfect Fit qu’ils sont entrain de jouer !!! Du bon vieux Very Proud Of Ya à l’ancienne !!! Mais voilà , faut pas déconner, retour au new AFI avec Beatiful Thieves, un Dancing Through Sunday de derrière les fagots, un On The Arrow totalement inatendu (la chanson n’est parue que sur l’édition australienne du single Love Like Winter), mais superbement interprété. A peine le temps de s’en remettre et on prend un Death Of Seasons en pleine poire et un Miss Murder dont on se serait volontiers passé, mais bon, c’est le jeu, surtout que Days of The Phoenix, le second et dernier “ancien” titre, nous fait oublier tout ça. S’en suivent Love Like Winter et Silver and Cold qui m’achèvera le peu de voix qui restait. Un petit rappel quand même ? Non ? Quoi, c’est déjà fini ??? Une heure chrono en main et puis s’en vont, mais quel show !!!
Live Report : Pete
Ajouté le : 21.04.10
Live Report cliqué : 11628 fois
The Loved Ones, The Audition, Bedouin Soundclash, Strike Anywhere, The Planet Smashers, Story Of The Year, Silverstein
Date : 18.05.08
Lieu : Abart - Zurich
C'est psychologique :D
Yo! Je connais pas des masses AFI mais j'ai un peu écouté avant de partir au Groez. En fait par curiosité, pourquoi t'aimes pas 'Miss Murder' ? Au milieu de titres comme 'Love Like Winter' ou 'Girls Not Grey' ça fait pas une énorme différence stylistique, si ?
Maxb39
J'y étais au X-tra, et c'était de la pur folie! J'aime sum 41 depuis tellement longtemps et c'est la première fois que je les vois en live, c'était vraiment cool! J'ai découvert aussi les autres groupes qui était ENORME, j'ai particulierement aimé Story of the year et the Swellers! Sum 41 niveau charisme sur scene c'est enormissime! tout comme Story of the year!
En ouverture the Swellers ca a vraiment bien chauffé la salle c'était vraiment bien.
Posté le : 06.05.2010 à 15:50