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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
-hey, very nice site.thansk for sharing site Dedicatedhosting4u provides reliable an...
-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
-yo ! KK Null sera en concert à Paris aux Instant Chavirés le mardi 6 décembre e...
-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...
-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...
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GreymachineDisconnectedPays : Angleterre Date de sortie : 2009 |
Style : Industrial metal
Pour les Fans de : Godflesh, God, Jesu, Ice, Final, Fall Of Because, Isis
Greymachine, le projet musical qui réunit trois anglais : Justin K. Broadrick (ex-Godflesh, Napalm Death, Curse Of The Golden Vampire, Techno Animal, Ice, God, Final, The Sidewinder, White Viper, Fall Of Because, Head Of David, Sweet Tooth, Saskwatch, Cyclon, Youpho, Solaris BC, Krackhead, Tech Level 2 ou Zonal… et actuellement Jesu, J2, Council Estate Electronics, White Static Demon), Dave Cochrane (ex-Godflesh, Head Of David, God, Sweet Tooth, Ice et actuellement dans Transitional, Jesu), Diardmuid Dalton (ex-Cable Regime, Godflesh et actuellement dans Jesu, Council Estate Electronics, Line)… et un américain : Aaron B. Turner (ex-House Of Low Culture, Old Man Gloom et actuellement dans Isis, Hollomen, Lotus Eaters, Jodis, Mammifer) a au moins un immense mérite : sortir de la torpeur ambiante le groupe Jesu, qui s’enfonce de plus en plus dans les méandres du shoegaze chiant et noyé sous une couche de productions aussi nombreuses qu’inintéressantes (alors que tout avait bien débuté avec "Heart Ache" ou "Silver").
Donc voilà Greymachine ! Entité musicale récente, cet album "Disconnected" signe leur premier effort longue durée. Neuf morceaux oscillant entre 6 et 10 minutes, pour un total de plus d’une heure de musique, ou plutôt devrais-je dire de magma bruyant. Oui, l’objet ici proposé est massif et va très certainement plus parler aux fans de Godflesh qu’aux fans de Jesu ou d’Isis. Ne vous attendez donc à rien, sauf à une terrifiante mixture de dark indus, laminé par un rock metal à la… Godflesh (et oui !), des nappes d’infra-basses sorties d’une discothèque drum’n’bass ou dubstep et du bruit, beaucoup de bruit. Des samples de machines, des sonorités électroniques, de la batterie qui conne mécaniquement tel une usine en pleine production, sans relâche, sans pause. Les voix, quand elles se font entendre, sont hurlées, limites black metal, comme si un fou gueulait sa haine au fin fond d’une caverne. Les guitares rampent, coupent l’ambiance par leur austérité, c’est profondément sombre et gris…
Hargne. Rage. Lourdeur. Epaisseur. De la basse qui claque, encore et encore. Les morceaux sont de longues et lentes ambiances malsaines, aux structures flottantes, agressives mais progressives, un terrible magma sonore des plus lourds et étouffants. L’image de la pire des cités industrielles, cauchemardesques et glauques ! Les morceaux n'existent pas en tant que morceaux, ils ne sont que des boucles qui se superposent les unes aux autres. En ce sens, on est bien plus proche de God ou du premier Ice voir des premiers Techno Animal ("Ghost") dans la démarche que ne le fut Godflesh aux structures "limpides" et agencées, même si des sonorités proches de "Streetcleaner" ou "Pure" pourraient nous faire tomber dans le piège. Le piège, oui, car la formule ici présentée sent malgré tout un peu le réchauffée et l’attaque marketing, surtout que depuis de Godflesh est mort, des milliers d'autres groupes ne cessent de revendiquer cette filiation.
On peut donc penser que Justin K. Broadrick était dans une passe où il voulait exprimer sa mauvaise humeur. Il a donc appelé trois potes et ensemble, ils ont décidé de montrer ce qu’un Godflesh actuel, maladif, rampant, lancinant, mais joyeusement bandant, pourrait foutre à la gueule de toutes les critiques. Et si on prend cet album dans ce sens, alors mon dieu, c’est effectivement un véritable torrent de baffes et de lourdeur qui nous retourne en entier. Tout simplement : jouissif !!!
Kronik : Xetal
Label : Hydra Head Records
Site Web : www.avalancheinc.co.uk/greymachine.html
Myspace : www.myspace.com/officialgreymachine
Site du label : www.hydrahead.com
Kronik ajoutée le : 12/01/2010
Kronik cliquée : 3691 fois
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JKB
Chaos sonore serait une bonne définition du genre. Musique dure d'accès, mais une fois dedans, c'est vraiment très bon...
Posté le : 13.01.2010 à 08:40