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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
-hey, very nice site.thansk for sharing site Dedicatedhosting4u provides reliable an...
-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
-yo ! KK Null sera en concert à Paris aux Instant Chavirés le mardi 6 décembre e...
-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...
-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...
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Inherit DiseaseVisceral TranscendencePays : Etats-Unis Date de sortie : 2010 |
Style : Brutal death metal
Pour les Fans de : Deeds Of Flesh, Disgorge, Condemned, Guttural Secrete
J’avoue ! J’ai écouté, puis acheté, cet album tout d’abord parce que la pochette m’a particulièrement plu. Allons, allons, je suis sûr que ça vous est déjà arrivé d’acheter un disque pour d’autres critères que la musique ? Je connaissais toutefois Inherit Disease par son ancien album, "Procreating An Apocalypse" – disque assez plat et sans immense saveur – mais le superbe design du dessinateur Yang Guang, génial mélange entre Matrix et Alien, a pesé en faveur d’Inherit Disease. Et heureusement, car le groupe délivre malgré tout un album bien foutu. Et surtout, le groupe amène heureusement une thématique plutôt orientée science-fiction, ce qui change des corps mutilés, des histoires de serial-killers-violeurs et autres paroles gores des plus stupides.
Certes, pas d’énormes changements de style, on reste en terres connues du brutal death américain. Déjà, la production est limpide : les guitares sont tranchantes et la batterie cartonne. Heureusement pour le style de musique ! L’évolution du groupe se fait surtout sentir au niveau du chant et des guitares. Les vocaux ont progressé et offrent un large panel de guttures et de brutalité maîtrisée (à noter de nombreux "guest vocalists" pour étoffer le tout). Les growls sont puissants et variés et rajoutent aux compositions une couche de brutalité. Certes, les âmes sensibles passeront leur chemin, de peur de perdre leur audition…
Au niveau des morceaux, à noter que les titres sont assez courts (entre 2 et 3 minutes), ce qui ne rend pas l’écoute trop longue. Le tout est bien sûr bourré de changements de rythme, de blast-beats monstrueux, de semi-blasts (tout est relatif…), de riffs de dingues, de basse à l'affût et de ralentissements gras du bide. Je me répète donc, mais c’est une excellente formule du pur brutal death américain, intense, technique, massif et ravageur. Prenez la peine d’écouter les riffs et les enchaînement et vous verrez que le travail de création est assez pointu. Certes, on est pas non plus ici en présence des Léonard de Vinci du hard et la révolution du brutal death n’est pas encore là, mais force est de remarquer qu’Inherit Disease est sur la voie des bons groupes à suivre et c’est tant mieux. Espérons donc que le meilleur est encore à venir...
Kronik : Xetal
Label : Unique Leader
Site Web : www.inheritdisease.bigcartel.com
Myspace : www.myspace.com/inheritdisease
Site du label : www.uniqueleader.com
Kronik ajoutée le : 07/12/2010
Kronik cliquée : 3601 fois
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