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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
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-album super pour ma part rien à dire
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Black ShivaWhen Evil LivesPays : Genève Date de sortie : 2015 |
Style : Black-Core
Pour les Fans de : Every Time I Die, Birds In Row, Madball
When Evil Lives est le premier album du groupe de black-core Black Shiva. Le quatuor genevois avait déjà sorti une démo éponyme (et très prometteuse) quatre ans auparavant. Depuis, la formation helvétique s’est séparée de son bassiste Wlad (qui a dû se perdre dans un monte-charge) et a engagé Lyes, qui, par la même occasion, seconde le chanteur Fab dans les voix. Boris et Matt, respectivement batteur et guitariste, répondent toujours présents à l’appel. En plus de cela, le groupe a opté pour un nouveau style graphique, plus en adéquation avec la musique. Cette dernière a également subi quelques remaniements depuis l’époque de la démo. Je pense notamment à la chanson Bitter End, déjà sortie en 2011 et qui était mon coup de cœur de l’EP. Le titre Welcome a aussi eu droit à un petit ravalement de façade.
Dans son ensemble, When Evil Lives sonne plutôt (old school) hardcore. On le remarque à certains riffs qui me font beaucoup penser à Madball ou encore à Hatebreed du temps où ils avaient une âme. On l’entend très bien sur Falling Appart par exemple. Cependant, le son reste très metal et bien lourd malgré tout. Black Shiva a le postérieur entre deux chaises musicales et ce qui fait le charme et toute la particularité du groupe. Cela se retrouve sur les 13 titres qui composent cet album. De la première à la dernière minute, l’auditeur n’a pas le temps de soupirer ; le groupe t’en envoies plein la face non-stop ! Seul bémol à mes oreilles, les intros de certains titres, à savoir Bitter End, Kalvingrad, When Evil Lives, Come the Storm (autre coup de cœur) et Hyenas. On aurait pu s'en passer. Cela dit, ce n’est pas parce que ça commence mal que cela doit se terminer de la même manière, au contraire. On note la présence d’une chanson sans voix, Kali, qui résume plutôt bien ce que Black Shiva a dans les entrailles. Soit dit en passant, Kali est forme destructrice de la déesse Pârvatî. Cette dernière n’est autre que la femme de Shiva (dieu de la connaissance). Voilà. C’était l’instant culturel de ma chronique et son point final.
Kronik : N.
Label : Bad Mood Records, Hannibal Records
Bandcamp : blackshiva-gva.bandcamp.com
Kronik ajoutée le : 15/03/2016
Kronik cliquée : 3175 fois
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