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Skartnak Version

No Use For A Name

Le : 20.09.2020 à 14:59

-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...

Matchup, The

Le : 14.02.2020 à 00:19

-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.

Within Walls

Le : 21.08.2019 à 12:14

-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe

Café Flesh

Le : 20.08.2019 à 22:01

-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est

On Broken Wings

Le : 12.08.2019 à 16:58

-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...

Nathen Maxwell & The Original Bunny Gang

Le : 09.05.2019 à 10:37

-hey, very nice site.thansk for sharing site Dedicatedhosting4u provides reliable an...

Jesse Lebourdais

Future Faces

Facing The Enemy

Le : 31.03.2017 à 05:57

-bon album super groupe pour moi c' est bien

KK Null

Le : 27.11.2016 à 15:19

-yo ! KK Null sera en concert à Paris aux Instant Chavirés le mardi 6 décembre e...

Darkrise

Le : 06.10.2016 à 06:20

-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...

Marionette, The

Le : 27.05.2016 à 19:40

-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...

Total : 2325 commentaires

Tantal

Beginning Of The End

Pays : Russie

Date de sortie : 2009

Note du kronikeur :

Bon

Pas encore de notes de lecteurs sur cette kronik

Style : Metalcore/Death

Pour les Fans de : Arch Enemy, Lacuna Coil

Note cet album :

Skartnak.com Voici la preuve qu'il n'y a pas que le caviar, la vodka et les demoiselles qui sont bien en Russie. Le groupe Tantal, véritable machine de guerre sibérienne, nous attaque d'emblée et fait mal. Très mal. Pourtant, ce groupe de Death mélodique a été créé en 1998 et n'a enregistré qu'une première démo en 2007 intitulée « Emotional Distress » et un album cette année, celui que je m'apprête à chroniquer, nommé « The Beginning Of The End », pondu chez le label russe Mazzar Records. Autre point intéressant: c'est une hurleuse/chanteuse qui officie dans le groupe, ce qui rajoute du sel à ma curiosité.

La première, intitulée comme l'album, commence par une intro où l'on entend un bébé pleurer dans une atmosphère glauque et démarre sans crier gare un Metalcore saupoudré de Thrash. La chanteuse impressionne de part sa voix gutturale et enchaîne aussitôt sur une voix mélodieuse. « Controlled by Hate », seconde composition, démarre par un tapping du gratteux et se termine par un enchaînement de riffs assez incisifs. Mais j'avoue que dès la seconde chanson, la voix mélodique de mademoiselle Sofia Raykova (la chanteuse, pour ceux qui n'ont pas compris) soûle franchement. Elle chante bien. C'est vrai. Mais merde... Ça coupe la dynamique de la musique. Bon ! Salve suivante, j'ai nommé « Lifeless Existence ». Un peu longue à démarrer mais une fois lancée, elle tartine les tronches à coups de baffes et impressionne par un Metalcore/Death assez survolté. Je me dis à ce moment-là « Pas si mauvais ce CD... ». La quatrième saloperie du skeud intitulée « When Clarity Comes... » entame ses premières secondes par une intro très mélodique et recherchée mais toutefois laisse sceptique quant à l'exécution du petit solo au début, avec une note interrompue. Le souci est vite oublié car apparaît une douce rythmique et redémarre de plus belle en mettant les musiciens au summum de leur talent. Vraiment cool !

La suivante ne tourne pas autour du pot, grâce à un titre on ne peut plus évocateur (« Suicide »). Metalcore jusqu'au bout des cordes avec une entrée magistrale de la postillonneuse, je constate ensuite que la gentillesse n'a que peu de mise dans ce titre à mon plus grand plaisir. Mais malheureusement, la musique lasse vite aussi. « In The End Pt.1 (agony) » ne s'écoute plus avec cette envie de découvrir. Toujours le même genre de rythmes, le même genre de solis, le même genre d'agacement qu'on éprouve une fois le disque presque terminé et que l'on sait qu'on va rester sur notre faim. Vu qu'il n'y a pas de partie « 1 » sans suite, « In The End Pt. 2 (epitaph) » cherche à attaquer sur tous les fronts pour tenter de faire oublier la précédente mais malheureusement, fatigue vite. La huitième et dernière des russes « Farewell » est extrêmement calme de par son absence de chant et de batterie. Une guitare acoustique aux sons apaisants et une électrique lancinant un solo mélancolique et abouti. Sûrement un requiem pour un album qui étonne mais qui fatigue à la longue.

Maitenant, l'épitaphe:

Les rythmes sont très répétitifs ce qui agace vraiment et le chant, malgré une performance non négligeable, énerve très rapidement. Les hurlements sont en revanche impressionnants. Les guitaristes sont vraiment doués, avec des solos et des riffs très travaillés mais le son des grattes, lors des solos, ont vraiment un son bizarre, ce qui gêne énormément. Alors pour clore cette chronique, je dois avouer que les musiciens sont vraiment très bons mais vouloir en rajouter davantage fatigue aussi vite qu'une musique sans originalité. Vraiment regrettable mais un groupe à suivre de près, à mon avis.

Kronik : BoogueyMan

Plus d'infos :

Label : Mazzar Records

Myspace : www.myspace.com/tantalband

Site du label : www.mazzar.ru

Kronik ajoutée le : 09/05/2009

Kronik cliquée : 3719 fois

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