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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
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-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
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-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...
-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...
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Butterfly Effect, TheFinal Conversation of KingsPays : Australie Date de sortie : 2009 |
Style : Rock
Pour les Fans de : Porcupine Tree, Muse, Radiohead, 30 Seconds to Mars
Aïe aïe aïe. Un disque qui ne ressemble pas franchement à ma tasse de thé. The Butterfly Effect évolue dans une sorte de rock progressif moderne pour le moins accessible, construit autour de nappes ultra-mélodiques censées traduire des ambiances aériennes envoutantes. Comme une cerise confite sur un gâteau trop doucereux, une voix à la Thom Yorke, mais moins subtile, se pose sur cette structure aussi riche que glaciale. Il parait que le groupe Australien, qui connait pas mal de succès dans son pays, a un peu touché à tout sur ses précédents albums : hard, metal, new rock, progressif... Rien de difficile à imaginer tant on sent que l'univers de The Butterfly Effect va de Pink Floyd à Dream Theater, en passant par King Crimson et Iron Maiden.
Sur The Final Conversations of Kings par contre, les amplis sont rarement poussés à onze. Le groupe semble désormais préférer les ambiances mélodiques feutrées. Pourquoi pas. Mais en lieu et place du voyage promis au beau milieu de la stratosphère, on se retrouve finalement le plus souvent dans un ascenseur. Il y a quelques plans bien ficelés qui évoquent éventuellement Radiohead (« Final Conversation », « Window and the Watchtower ») mais l'ensemble est trop lisse, et surtout le disque réussi le tragique exploit d’être à la fois sirupeux et passablement froid dans l’exécution. Sans moi.
Kronik : Matti
Label : Superball Music
Site Web : www.thebutterflyeffect.com.au
Myspace : www.myspace.com/thebutterflyeffect
Site du label : www.superballmusic.com
Kronik ajoutée le : 05/08/2009
Kronik cliquée : 3066 fois
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