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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
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-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
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-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...
-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...
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DragbodyFlip The Kill SwitchPays : USA Date de sortie : 2000 |
Style : Chaotic Hardcore vénéneux
Pour les Fans de : Converge, Dillinger Escape Plan, The Chariot
Bon il ne date pas d’hier ce disque mais quelle joie de le réécouter. Gros consommateur de Converge et de cette scène Chaotique, je me devais de parler de cet album datant de 2000 !
Ici nous avons affaire à de la violence sèche, lourde et grave. Du hardcore comme rarement nous en avons entendu. Ok on a fait plus brutal, plus technique, plus dissonant, plus sombre mais faut il faire « plus » que les autres pour arriver à un meilleur résultat ? Non !
La musique proposée par Dragbody est malsaine. Le chant, véritable exutoire, est tout bonnement insultant de violence. Les guitares ultra acérées, puissantes, radicales et sombres renforcent cette idée de torture mentale. On pense aux premiers Converge tiens !
Certains passages sont lourds, noirs et écrasants « swallowing razors » (tout un programme) et rappelle que le hardcore est une musique cathartique où tous les sentiments négatifs font surface pour former une masse lourde et fiévreuse comme le plus dur des sludge/doom. Ecoutez « Kill the dogs » et son mid tempo sec comme un coup de trique puis ces guitares pleurantes de désespoir et vous passerez tout de suite à Mambo n°5 si vous n’avez pas la force d’aller plus loin. Ce qui serait fort fâcheux puisque la piste suivante pourrait paraître comme un interlude mais que nenni puisque il s’agit d’une piste quasi ambiante/acoustique proposant du spoken world plutôt pas comique du tout pour finalement se terminer par…un nouveau chaos. Stupeurs puis tremblements…
La deuxième partie de l’album réserve son lot de sensations fortes. Les titres s’enchaînent dans une fureur troublante, suintant la colère et surtout le dégout profond de toute chose. Aucune baisse de régime jusqu'à la fin (disque plutôt court mais si intense).
Alors voila, bien que sorti il y a 12 ans, ce « Flip the kill switch » reste pour moi un moment essentiel et malheureusement trop méconnu du hardcore. Violent, sec, malsain et brutal ; voila comment ce genre musical se doit d’être non ?
Kronik : bennythunders
Label : Overcome Records
Myspace : www.myspace.com/dragbody
Kronik ajoutée le : 11/06/2012
Kronik cliquée : 3102 fois
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