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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
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-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
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-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...
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Dog DaysHeatPays : Suisse Date de sortie : 2016 |
Style : Stoner
Pour les Fans de : Karma To Burn, Red Fang
Après avoir été convaincu par la performance live lors du vernissage à Ebullition en janvier, voici le moment de s’attaquer à la galette Heat de Dog Days.
Pour commencer petite présentation du groupe fribourgeois, composé de trois musiciens : Marie Riley (basse), Julien Vonlanthen (batterie) et Vincent Yerly (guitare). Certains connaissent peut-être déjà la bassiste par son excellent blog Food and Fuzz qui raconte les groupes à travers la cuisine (si si !).
Vous aimez hocher la tête, lever votre verre et les sonorités bien fuzz ? Ce disque est fait pour vous. On retrouve les mêmes ingrédients qu’en live, soit des morceaux stoner mâtinés de classic rock et parfois de post-rock. La véritable valeur ajoutée du disque est la production, en particulier le son de la basse et de la batterie. Cette section rythmique est très efficace, la batterie plutôt claire se mêlant parfaitement à une grosse basse vrombissante. Les bases stoner sont là, efficaces et carrées. La guitare vient s’ajouter par dessus de manière à mettre un peu de mélodie et de progression dans les morceaux. Le disque s’ouvre sur Saluki, un morceau rapide, tout en groove, servi par des riffs très efficaces et un certain talent guitaristique. On pense parfois à Red Fang (en plus lourd). Le reste de l’album se poursuit de la même manièr, le stoner basique agrémenté de progression et de changement de rythmes amenés par la guitare pour un effet des plus jouissifs. Malamute en modifie le propos, le riff d’ouverture un peu dissonant laissant notre imagination vagabonder dans les bayous au fil de la montée un peu noise de ce titre. Le groupe n’hésite pas à ralentir le rythme et amener des sonorités un peu différentes, plus torturées et lancinantes (Broholmer, Hovawarth). Retour ensuite à quelque chose de plus classique (Lancashire Heeler, Kyi Apso), toujours avec des lignes de guitares efficaces et des passages plus travaillés. Cependant, et c’est parfois le cas avec les groupes instrumentaux, le propos est posé et peut-être manque-t-il de variations sur la fin du disque, une progression dans la foulée du milieu du disque (Broholmer, Hovawarth) qui permettrait une écoute plus attentive de la fin de l’album. Un titre comme Komondor, le dernier de l’album, presque post-rock, est vraiment une bonne idée et si le groupe poursuit ce mélange, tout en gardant le côté direct du stoner, cela pourrait donner des disques très intéressants par la suite. La qualité est au rendez-vous pour ce premier disque, la variété des approches et des ambiances est tout à fait intéressante et augure le meilleur pour l’avenir de ce groupe fraîchement arrivé sur la scène romande.
Kronik : luke
Label : Autoproduction
Site Web : www.dogdays.band
Facebook : dogdaysband.bandcamp.com et https://www.facebook.com/dogdaysfuzz et https://soundcloud.com/dogdaysband/sets/heat2016
Kronik ajoutée le : 29/03/2016
Kronik cliquée : 3656 fois
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