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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
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-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
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-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...
-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...
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Slashs/tPays : USA Date de sortie : 2010 |
Style : Rock
Pour les Fans de : rock n’ roll et de la jet set
Slash. Le mythe vivant de ma préadolescence. L'homme au chapeau. L'âme des Guns dont les posters tapissaient les chambres des années 90. Le guitar hero par définition, avec ses excès et son attitude de rock star. À l'œuvre dans Velvet Revolver depuis qu’Axl Rose est devenu encore plus mégalo que ses ex-compères, Slash se pointe aujourd'hui avec un projet d'envergure : son album solo. Ou plutôt un disque où il s'éclate à la gratte tout en nous en mettant plein les mirettes avec son carnet d'adresse. Treize morceaux pour douze chanteurs différents. Le compte n’est pas bon? C’est vrai, mais quand Slash a invité Dave Grohl (derrière les futs) et l'eternel Duff McKagan (à la basse) sur "Watch This", il s'est dit que le titre n'avait pas besoin de cordes vocales. Cela dit, aucune inquiétude au niveau musiciens sur le reste du disque : la rythmique y est tenu par Josh Freese et l'ex-Jane's Addiction Chris Chaney. Quand à la six-cordes, c’est le territoire exclusif de Slash, accordant une dérogation spéciale uniquement à l'ex-Guns Izzy Stradlin.
On peut se demander ce que donne ce disque rempli d'icones du rock et d'icones des pages people. Eh bien, il y a des hauts et des bas, c'est évident, mais d'une manière générale, l'écoute du disque est un vrai plaisir, par moment un peu coupable.
On commence avec Ian Astbury (The Cult) pour un "Ghost" riffesque et vraiment agréable. Ozzy prend ensuite les reines, mais le morceau est plus quelconque, tout comme le "Beatiful Dangerous" avec Fergie des Black Eyed Peas, un peu poussif par moments malgré les prouesses guitaristiques. Chris Cornell remet les pendules à l'heure sur la ballade "Promise", même si les pourfendeurs d'Audioslave et de Soundgarden peuvent faire l’impasse sur ce titre.
Tout le long du disque, on réalise à quel point le chanteur donne la couleur à un morceau, d’autant que les invités ont aussi participés à la composition. Du coup les morceaux leur ressemblent passablement. La preuve avec l'enchainement "By The Sword", "Gotten" et "Doctor Alibi". Le premier, excellent, est tenu de main de maître par Andrew Stockdale de Wolfmother, l'une des plus belles voix hard-rock de la décennie. Adam Levine fait ensuite de "Gotten" un morceau de Maroon 5 avec un bon gros solo de guitare. Il y a pire, mais la voix du bonhomme m'a été rendue insupportable en passant en boucle sur les ondes il y a quelques années. Et puis bon, dur dur pour le pauvre Adam et sa voix de chanteur de charme, que d’être est coincé entre Andrew Stockdale et ce bon vieux Lemmy. Monsieur Motörhead, qui envoie une géniale "Doctor Alibi", a tendance à se surpasser en ce moment lorsqu'il participe à des projets extérieurs (voir l'énorme "Don't Talk To Me" sur le Legacy de Girlschool).
Plus loin, l'alliance Kid Rock - Slash accouche d'une ballade un peu kitsch, mais pleine d'une efficacité au sein de laquelle on se vautre volontiers. Même le fatiguant M. Shadows qui tient la vedette de "Nothing to Say" passe à peu près grâce à Slash. Le morceau est proche du Avenged Sevenfold d’aujourd’hui. Myles Kennedy, qui sur scène, sera le chanteur de la tournée de Slash, balance quant à lui son timbre haut-perché sur "Starlight" (featuring Travis Barker a la batterie). Pas ce que je préfère, tout comme Rocco DeLuca qui lui emboite le pas. Par contre, le disque se termine en fanfare avec un Iggy Pop en grande forme ("We're all Gonna Die").
Tout ça est bien sûr agrémenté de soli de guitare de rigueurs. C'est quand même avant tout le disque de Slash et le bonhomme est aussi agile avec son manche (de guitare) que muet avec ses cordes vocales. L'avantage c'est que Slash n'est pas Satriani : il sait mettre la technique au service du morceau, et non l'inverse. Pas besoin, donc, d'être gratteux pour apprécier cette galette hautement récréative. On note au passage que quelques autres titres existent et sont dispo sur les différentes versions (collectors, téléchargement, etc.) du disque avec d'autres invités de marque, notamment Nick Oliveri, Nicole Scherzinger (!), Cypress Hill, Alice Cooper ou Flea. Le carnet d’adresse... Depuis le temps que l’on vous dit qu’il n’y a que ça qui compte!
Kronik : Matti
Label : Roadrunner Records
Site Web : www.slashonline.com
Myspace : www.myspace.com/slash
Site du label : www.roadrunnerrecords.com
Kronik ajoutée le : 23/04/2010
Kronik cliquée : 4915 fois
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Ar-Findel
Dedieu je savais qu'il y avait une tripotée de gros poissons dans son album mais je pensais pas autant!
Faut que je mette la main dessus, ça m'a l'air très écoutable tout ça.
Hate d'y voir en live en tout cas :p
Posté le : 23.04.2010 à 21:58