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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
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-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
-yo ! KK Null sera en concert à Paris aux Instant Chavirés le mardi 6 décembre e...
-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...
-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...
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36 CrazyfistsCollisions and CastawaysPays : USA Date de sortie : 2010 |
Style : Emocore/Metalcore
Pour les Fans de : Evergreen Terrace, Boysetsfire, Haste The Day
36 Crasyfists ou le groupe qui impressionne par sa régularité. Je n’ai personnellement jamais pris le temps d’y jeter une oreille attentive avant cette chronique mais les échos qu’on m’en fait ont toujours été positifs. De retour chez Roadrunner pour ce cinquième album, après un crochet par Ferret pour la sortie de The Tide And Its Takers en 2008, qu’en est-il avec ce nouvel opus ? Les contrées lointaines d’Alaska sont-elles toujours autant propices à la bonne inspiration ?
Dès le premier titre, on sent tout de suite une certaine habilité à mélanger mélodies et gros son, particulièrement la voix qui navigue entre les deux sans tomber dans le mielleux pour les parties claires (en général les refrains), sauf peut-être sur Anchors qui nous offre le refrain le plus pénible de l’album. Cette recette “strophe criée/refrains clairs” est d’ailleurs omniprésente sur les premières pistes du disque et il est assez intéressant de la retrouver également au niveau de la guitare, comme une sorte de dialogue ou de questions/réponses. Les passages de breakdown me semblent par contre bien mous et manquent vraiment de tranchant. Ce qui attire par contre un peu plus l’attention, c’est les petites coupures calmes à la guitare acoustique ou au piano qui enchaînent sur des riffs bien péchus. Facile mais sacrément efficace !
Autre curiosité, c’est à partir du septième titre que le disque devient vraiment intéressant, avec un rythme plus soutenu, des bons riffs un peu dans l’esprit Metallica, les breakdowns avec ce qui leur manquait sur les premières compos ou encore des breaks basse/batterie ou basse/chant qui font leur petit effet ! J’y retrouve ce qu’à pu faire par exemple Boysetsfire sur The Misery Index.
Au final, l’album, tout en étant assez inégal, se laisse plutôt bien écouter mais honnêtement je suis loin de la claque promise, à moins que cet album ne soit le vilain petit canard de leur discographie.
Kronik : Pete
Label : Roadrunner Records
Site Web : www.36crazyfists.com
Myspace : www.myspace.com/36crazyfists
Site du label : www.roadrunnerrecords.com
Kronik ajoutée le : 11/09/2010
Kronik cliquée : 5322 fois
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