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-Celui qui pondu l'article est un con. L'album n'est pas si dégueulasse qu'il ne le p...
-Thanks pour la critique. C'est moi qui a fait la photo du cover et du back de l'album.
-ça ressemble à terror ce truc ou je me trompe
-led zepplin n' importe quoi et pourquoi pas acdc tant qu' on y'est
-je trouve que depuis qu; ils sont avec stay sick records eh bien je pense qu...
-hey, very nice site.thansk for sharing site Dedicatedhosting4u provides reliable an...
-album super pour ma part rien à dire
-Dispo sur gpsprod.com également :)
-bon album super groupe pour moi c' est bien
-yo ! KK Null sera en concert à Paris aux Instant Chavirés le mardi 6 décembre e...
-je veux dire à tous le gens qui sont sur ce site darkrise c' est nul pas assez de so...
-parfait pour moi et pour vous quelle votre groupe de death mélodique préféré d...
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WardrunaGap Var GinnungaPays : Norvège Date de sortie : 2009 |
Style : Folk Ambiant
Pour les Fans de : paganisme
Fou que je suis, je me suis dis en écoutant le Myspace de “Wardruna” : “pourquoi pas”.
Le pourquoi pas, viens du fait, que “Wardruna” est à des années lumières de ce que j'écoute habituellement, c.à.d, du folk ambiant d'une profondeur incroyable.
Avant d'attaquer le contenu de l'album, il serait bien de présenter le concept de la formation.
En 2002, l'ancien batteur du groupe de Black Metal “Gorgoroth” (Einar Kvitrafn Selvik), désireux de partager sa passion pour les instruments tribaux et de la mythologie païenne nordique, créa « Wardrunna » distillant une musique très orientée Ambiant. Courant 2007, ses compositions finirent comme bande son, dans le reportage sur l'emblématique « Ghaal » (chanteur du groupe « Gorgoroth ») “True Norwegian Black Metal”, ce qui lui permit de signer chez un label et d'enfin pouvoir sortir, 7 ans plus tard, “Gap Var Ginnunga”.
Assisté du même “Ghaal”, dans un rôle bien plus bluffant que dans ses apparitions en tant que Front man, de “Lindy Fay Hella” touche féminine du groupe, s'occupant des claves et du chant clair et doux, “Hallvar Kleiveland” sur certains instruments à cordes, et bien sur “Kvitrafn” s'occupant de tout les autres instruments : Cor, flûte, tambourins, Lur, etc, et viennent s'ajouter à tout ceci divers sons enregistrés dans des forêts, (bruissement de branches, vent, oiseaux, pierres qui s'entrechoquent, feu, effets climatiques et j'en passe).
Autant le dire tout de suite, “Wardruna” s'apprécie dans des circonstances idéales pour ce genre d'écoute : assis dans un canapé où dans un lit, dans une pièce éclairée à la bougie, avec un bon matos sono qui a un bon caisson de basses.
Car pour apprécier cet album qui dure plus d'une heure, l'ambiance doit y être, apprécier les claquements du tonnerre, qui recouvrent les longs et graves chants, appuyés par la lenteur et la puissance des percussions tribales qui sont littéralement envoutantes, propulsent d'entrée de jeux, dans le cœur de l'album.
Album se veut ancestral, il nous emporte dans une forêt millénaire, nous amène dans une cérémonie chamanique, autours de grands feux ou les acolytes bercent leurres têtes en transe au son des tambours qui font trembler le sol, le chant féminin de “Lindy Fay Hella” nous glisse à l'oreille des prières runiques qui nous sont inconnues. Les chants graves du trio masculin de la formation nous invitent ensuite à rejoindre ce qui serait sans doute une cérémonie mortuaire, par les sensations oppressantes et les renforts de chants humés et appuyés que certaines des pistes procurent.
D'autres inspireraient de longues marches au travers des landes scandinaves pendant les sombres nuits hivernales quand les loups hurlent au milieu des forêts agitées, dans ces régions qui paraissent moins hostiles grâce aux sons des cors portés par le vent qui parviennent a l'oreille du voyageur.
Et je pourrais continuer à poser des scénarios similaires pendant des heures tellement cet album est une source de spiritualité et d'évasion. On se croirait vraiment là-bas à cette époque transi par le froid à voyager de villages en villages par monts et forêts dans la nuit éternelle nordique.
“Gap Var Ginnunga” est plus qu'un simple album, c'est une histoire, un long récit qui se conclura au terme du troisième album, celui-là étant l'introduction.
Autant vous dire tout de suite que les personnes qui ne sont pas réceptives à ce genre de musiques, lourd en ambiance et profond, auront du mal à apprécier cette pièce merveilleuse. Les autres. je ne peux que vous recommander de vous laisser emporter dans l'écoute en une seule traite de l'album, et de vous laisser transporter plus de 1000 ans dans le passé!
Kronik : Ar-Findel
Label : Indie Recordings
Site Web : www.wardruna.com
Myspace : www.myspace.com/wardruna
Site du label : www.myspace.com/indierecordings
Kronik ajoutée le : 11/04/2009
Kronik cliquée : 5040 fois
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Haa enfin quelqu'un qui laisse un comm!
J'étais un peu déçu que cet album passe de manière aussi inaperçue.
Ouais, c'est vrai que dans le genre c'est un peu le même trip.
Mais Wardruna c'est un peu plus poussé quand même. De la a étudier chaque rune dans chaque compo ça pousse assez loin quand même.
ce projet me fait penser à un truc un peu similaire qu'a fait karl sanders (vocals/shred et mastermind de Nile), un trip ambiant, ambiance égypte ancienne. en tout cas c'est sympa wardruna
Hrod
Exceptionnel
Posté le : 29.12.2009 à 18:45